ANdromède artemis astra

Basics

Surnoms

Andro - Mis - Fragile

Age

18 yo bae

Sexe

Giiirl

Race

Petite étoile

Nationalité

Canadiène sisi

Orientation sexuelle

C'est quoi ça ? C'est mangeable ?

Pouvoir

Dimension d'armes

Ni plus ni moins. V'voyez, c'est comme un inventaire, vide à sa naissance et maintenant à peu près rempli. Des katanas, des poignards, des épées, qui répondent quand ils le veulent bien à son appel. Parce que oui, hein, ce serait trop facile sinon. La concentration, il en faut, et en plein combat, c'est un point vachement faible. Et puis quand tu t'attends à un truc grandiose, bim, elle te sort un petit couteau de rien du tout. Ouais, c'est une bien belle appelation pour une maîtrise aussi piètre. Et franchement s'écrouler de fatigue après deux pauvres petites heures d'utilisation ? Nah, sérieux, non merci. Mais hey, c'est quand même assez pratique pour transporter des armes non ? Elle achète, elle trouve, elle gagne, et après un (bien trop) long moment de concentration...Pouf, dimension privée pour stocker ses armes. Et juste des armes, rien d'autre. La banae qu'elle avait essayé d'y mettre lui ait retombé sur sa petite bouille de victime.

Haruka/Winter

Moi en cinq mots ?

Joviale - Sociale - (un peu) folle - yaoiste - Love love love

Perso sur l'avatar'

Fem Prussia de Hetalia

Comment je suis là ?

Une certaine Mesysse ~

Pedobear ou bisounours

Je ne répondrais que par cette phrase : Kawaii on the street senpai on the sheets (a)


Opposition. Métal. Le son distingué de deux épées qui se rencontrent. Il y en a une, particulièrement fine et élégante, tout en argenterie et en subtilité élégance. C'est une main fine et pâle qui la tient et même après tant d'années d'entraînement et de maniement, elles restent toujours aussi délicates tes mains. Toi, tu t'en fiches, tu te bats. Tes bras sont tout aussi fugaces que tes mains délicates, comme tout ton corps en fait, une combattante légère et frêle, on aura tout vu !

Tes adversaires se moquent souvent en te voyant "retourne dans les jupons de ta mère petite fille !" qu'ils disent en riant et toi t'es obligé de limite te tordre le cou pour les regarder, parce que t'es pas très impressionnante du haut de ton mètre cinquante. Mais ce n'est pas grave, t'inquiète pas, ils ont vite cessé de rire quand tes orbes écarlates rencontrent les leurs, grands rubis brillants qui te servent d'yeux, Il yen a eu plus d'un qui se sont perdus dans ces sanglants cieux.

Il accepte finalement de se battre, convaincu d'obtenir une victoire facile et il s'excuse sincèrement, parce que ce n'est pas dans sa nature de se battre contre des enfants. Tu serres les dents en silence, c'est facile de te méprendre pour une gamine, tes formes généreuses sont sauvagement restreintes par tes habits de combat, ne laissant que ta petite taille et ton visage de poupée.

Ta famille et tes amis te taquinent constamment, ce n'est pas méchant, mais tu trouves ça vachement énervant. T'hésites pas à leur dire, t'es trop violemment honnête pour ne pas exprimer tes opinions. Personne ne te prend au sérieux, t'es pas effrayante quand tes joues prennent cette teinte tomate.

Et le combat commence et c'est plus une danse, tu t'envoles libre oiseau et ta chevelure immaculée danse aussi. L'autre est surpris il ne sait pas comment réagir, t'es rapide et précise, à ce moment-là t'es une vraie queen. La joute est déjà finie, ton adversaire est à terre et toi sublime guerrière tu le toises, main sur la hanche. Mais bientôt un délicieux sourire étire tes lèvres rosées, tu lui tends la main pour l'aider à se relever, incorrigible gentille jeune femme.

Quand tu vas rejoindre tes amis ils te félicitent, mais malheureusement quelqu'un te bouscule avec et t'es déjà aux larmes. On soupire, on sourit, parce que c'est tout toi ça.

Andromède la déesse des armes, trop gentille et trop fragile.

Tu ne pleures pas, t'es trop fière pour ça, la tête haute et voulant te rendre imposante avec ta petite carrure, tu fais comme si de rien n'était. Mais on voit tout sur ton visage, t'es bien trop expressive comme fille. Tu ne le fais pas exprès, pourtant, toi t'es plus du type calme. Tu parles quand il le faut, développe quand t'es obligée, mais t'es pas une grande fada de grandes discussions— Sauf quand il s'agit de parler de la nature humaine. Là, tu t'enthousiasmes, ton visage s'illumine, tu fais pâlir de jalousie le soleil tant tu brilles. Sautillant parfois, tes bottes blanches préférées chantant une habituelle mélodie, tu t'exclames et t'exprime, comme tu es amoureuse des humains...!

On est facilement dupés par ta bouille d'ange et quand on s'y attend le moins, ton côté farceur refait surface. T'es un peu trop machiavélique Andromède, tu sais, Il ya d'autres moyens pour échapper à ton étiquette d'adorable victime. Mais tu t'en fiches, t'aimes faire des blagues et quand on demande qui a fait la bêtise, qui soupçonnera Artemis ?

Pourtant, c'est pas si difficile à voir. Quand tu ne te promènes pas dans ton uniforme attitré, c'est comme si tu revêtais une autre personnalité. Plus sensuelle, plus suave, tu attires hommes et femmes. Et quand on te le dit t'éclates de rire parce que toi, t'as aucune confiance en toi. Fragile va, tu sais pas la beauté qui est en toi.

Une infinie dose de gentillesse, zéro trace de méfiance, beaucoup d'amour à redonner, mais bien caché par ton côté tsundere, machiavélique, bordeline sadique, mais jamais méchamment, tu ne ferais pas de mal à une mouche ! On y ajoute une touche non négligeable de charisme, saupoudré d'optimisme... Et quand on emballe tout cela dans un emballage de fragile, on obtient Andromède Artemis Astra.

"Je suis Sailor Moon, et je me bats pour la défense de l'ordre et de la justice !"

Andromede, 17 ans, observe son modèle.
"Ces activités vont devoir cesser, Andromede Artemis Astra."

Ah, le nom complet. Tu allais avoir des problèmes Andromede.

Moue boudeuse, yeux de chiot battu, tu lèves la tête vers ton père, des fausses larmes aux yeux. Il faiblit. En dix ans, il n'a jamais réussi à se construire une immunité contre cette bouille, on ne lui en veut pas, qui pourrait résister à ça ?

C'était une nuit d'été, tout ce qu'il y avait de plus banal. Pas de pluies d'étoiles filantes, pas de froid intersidéral, pas même un évènement important ou particulier.

Comte Simon Eric Astra t'observa d'un air plat. Du haut de tes 5 ans, tu lui rendis un regard tout aussi plat. Les gardes auraient souhaité ne pas être là. La gouvernante te trouvais adorable.
"Tu es ?" Demanda-t-il en levant un sourcil.

"J'en sais rien." Tu répondis franchement, pas pour le moins perturbée. Ton regard était attiré par les épées parfaitement rangées le long du mur qui te faisait face, tes orbes écarlates brillant d'intérêt.

Le comte ne dit rien. Les gardes auraient vraiment vraiment vraiment voulu être ailleurs. La gouvernante avait du mal à se retenir de te câliner.

"Vous êtes en train de me dire, que vous avez trouvé cette petite fille au milieu du jardin toute seule, sans aucune idées de la façon par laquelle elle est arrivée là et incapable de m'expliquer pourquoi elle ne se rappelle de rien ?"

Son ton était impassible, si ce n'était son haussement de sourcil assez prononcé. Il se leva et s'approcha d'eux. Les gardes étaient presque sûrs qu'ils allaient être virés.

Mais à la surprise de tous, il ne fit que se saisir de ta petite personne, et de te porter tout là haut. Tu l'observais. Il t'observait. Il sourit, et toi Andromede tu souris aussi.

"Je la garde."

"D'accord, mais j'exige beaucoup de sucreries et un enseignement à ces trucs derrière là."

"Les épées ?"

"Oui !"

"Appelle moi Papa."

"kay Papa."

"Toi et moi on va faire de grandes choses, petite étoile."

"J'en suis certaine. Occupe toi bien de moi Papa."

Une étoile ? La petite fille était une étoile ? Ceux présents dans le bureau s'échangèrent des regards confus, plus que perdus par la série d'évènements. Mais Le compte ne leur adressa qu'un de ses rares sourires en sortant de la pièce avec sa nouvelle fille, vite suivis par la gouvernante décidément conquise.

Simon Astra était un homme énigmatique. Comte de père en fils, la famille Astra était une de ces familles de la haute société, dont on ne savait rien si ce n'était leur statut prestigieux. Ce qui était tout à fait normal, étant donné qu'ils traînaient dans un business pas tout à fait légal. Mais selon eux c'était un mal pour un bien, un prix à payer pour que leur pays puisse vivre en paix.

Beaucoup en doutaient, mais personne ne disait rien. Les rares protestants avaient été...éliminés.

Alors imaginez la surprise de ceux qu'ils fréquentaient, quand le comte toujours seul jusqu'à présent, s'était montré en public avec une petite fille qui lui était en tous points différente.

Andromede t'as 6 ans maintenant et tu t'en fichais bien. T'étais apparue de nulle part, t'avais une vague idée de l'endroit d'où tu venais et des souvenirs fort embrumés...Mais tu n'y portais pas grand intérêt. Et quand quelque chose ne t'intéressais pas, tu t'appliquais avec une effrayante rigueur à complètement l'ignorer. Toi, les seules choses qui te rendaient heureuse, c'était tout les types d'armes blanches et apprendre tout ce qu'il y avait à savoir sur les êtres humains. Alors quand ton père t'emmenais à une de ces réunions ennuyantes juste pour se "montrer", tu ne râlais pas comme les autres enfants le faisaient, sage petite chose, observant son environnement comme un prédateur le faisait avec sa proie.

Dix hivers se sont écoulés, ta soif de la connaissance de la nature humaine ne s'est pas étanchée et tes prouesses en maniement d'armes n'ont fait qu'augmenter. Tu souris plus souvent plus facilement, t'es de plus en plus humaine finalement. Et ça attire les gens, filles comme garçons, hommes comme femmes, petite Andromede est un aimant à personnes, et tu t'en doutes pas, toi ton monde c'est ton papa adoré. Daddy complex much ?

Il te manque un truc, t'en es certaine, la raison pour laquelle tu es venue sur cette terre. Mais tu l'ignores avec aisance encore une fois, parce que ça t'intéresse pas toi, Andromede. Tu préfères observer les gens, t'émerveiller ou t'attrister devant leur comportement, rougir et te réfugier dans le silence quand on te parle et rire et chanter et danser dans le cercle fermé que constituent tes amis.

T'as treize ans maintenant Andromede, tu jures ne plus être une petite fille et t'aventures de plus en plus en dehors du manoir, tu t'ouvres plus facilement à ceux qui t'entourent, et c'est charmant et c'est fascinant, de les voir venir à tes côtés quand toi, principale intéressée, t'ignores tout tu te doutes de rien, naïve petite chose persuadée de tout déchirer.

"Quelle chance nous avons les gars...Tomber sur la petite étoile Astra, sans ses gardes du corps !" Tu ne dis rien, visage de marbre, mais à l'intérieur c'est pas pareil. Tu t'inquiètes pas pour toi, tu sais te défendre, mais tu n'es pas seule. Vous êtes cinq comme les cinq doigts de la main, toujours ensemble jamais séparés, une rencontre fortunée un jour d'été les a rapprochés. Et depuis c'est des bêtises à gogo, des sourires et des rires et une toute nouvelle facette d'Andromede.

Mais là c'est pas la joie, devant vous il y a trois hommes en noir, qui n'ont pas l'air de vouloir rigoler. Derrière vous, c'est un mur. Vous, c'est beaucoup de fatigue, de l'angoisse, et une peur irrépressible. C'était une mauvaise idée de semer leurs gardes du corps, mais comment s'assurer de s'amuser en paix si ces rapporteurs ne les lâchaient pas d'une semelle ?

Ashley vous fait un mouvement discret de la main. Vous comprenez. Tu écarquilles yeux, sûrement pas-!

Il se jette sur les hommes poings en avant, inconscient gosse toujours à se jeter tête la première sans prendre en compte du danger. Il n'a jamais su se tenir tranquille, il bouge il gesticule, un mouvement de travers il frappe quelqu'un à la volée, de la colère une injure et-

Du sang. Ashley tombe à terre.

Andromede voit rouge.

Le reste est raconté de bouche en bouche, déformé de tous omit par certains, tu ne te souviens que d'une brève lumière noire, d'une magnifique épée et d'un profond sentiment de justice quand elle est apparue dans ta main.
T'as pleuré pour la première fois ce jour là. C'est irréel, t'y crois pas, ta vie a toujours été paisible, une jolie illustration de la vie en rose.

Tu te demandes, Andromede. C'est la première fois que tu te poses ces questions, que tu t'intéresses. T'es une étoile Andromede, tu ne pourras jamais vivre en paix, vous ne pourrez jamais trouver la paix. Tu as quatorze ans maintenant, cet incident est loin d'être oublié, ton incapacité à protéger tes amis non plus. Tu t'es éloignée au final, isolée, t'étais dépitée.

Le manque se faisait de plus en plus fort, impossible de l'ignorer. Tu t'en fichais, jusqu'à présent, mais le destin de ton humain vint hanter tes nuits. Et si quelque chose lui arrivait ? Et si à cause de toi ton humain devait rencontrer une fin abrupte ? Tu ne dormais plus, des années d'ignorances remontaient à la surface, t'étais pas seule Andromede, tu l'as jamais été, mais tu viens juste de réaliser que ta mort pourrait en entraîner une autre et inversement.

C'était...pas juste. Ce n'était pas juste. C'était illogique, idiot, inconsidéré, c'était pas juste.

"Andromede."
"Tu lèves la tête, et immédiatement, tu es dans ses bras.

"Hey 'Pa..."

"Andromede."

"Je suis différente 'Pa, mais je l'ai jamais mal vécu. Sauf que je devrais peut-être m'y intéresser, je veux dire, c'est deux vies qui sont en jeu, deux vies qui sont liées contre leur gré..."

"…"

"Et puis il y a des étoiles, comme moi, qui sont pas super bien traitées. Tout le temps en danger." Tu resserres ta poigne autour de son cou, petites jambes autour de sa taille, petit koala cachée dans les bras de son papa. C'est grave, t'as carrément un Daddy complex Andromede.

"Dans ce cas bats toi." Il dit simplement, te tenant d'un seul bras et regardant quelques papiers de l'autre. Ce fut la révélation de ta vie. Ton père n'était pas tout à fait d'accord.

"Jor Andromede. Tu peux pas jouer à la justicière t'es trop fragile."

"Mais-"

"J'approuve trop pas. Les gens que tu vas sauver vont tellement pas avoir la confiance."

"J'aurai pas la confiance non plus si une victime qui m'arrive même pas au torse venait me sauver..."

"Gosh vous êtes tellement rude !" Tu t'exclames finalement, les joues rouges et les larmes aux yeux, "J'm'en fiche je le fais quand même ! A partir d'aujourd'hui, appelez moi Wonder Artemis !" T'es fière, tu brilles, tes longues mèches argentés volent derrière toi comme si t'étais dans un film au ralenti, y'a comme un coucher de soleil en arrière plan. Ouais, tu te dis, t'as la classe.

"Hey hey va pas te lancer dans un truc aussi dingue toute seule miss Fragile. On te taquine juste, évidemment qu'on est avec toi !" David te lance un regard exaspéré. Toi, tu ne fais que sourire en faisant le V de la victoire. Personne, absolument personne ne résistait au yeux de chiot battu.

Andromede, t'as 17 ans. Tes activités de sont pas très légales. Mais tu t'en fiches, la justice et l'ordre n'ont pas de prix. Ton père n'est pas d'accord. Voir sa fille rentrer ensanglantée avec un sourire limite maniaque sur le visage en marmonnant "justice" en boucle, ça avait le mérite d'inquiéter n'importe qui.

"T'es toujours aussi petite, il te soulève comme si de rien était, et toi tu t'accroches à lui comme tu le faisais depuis petite.

Daddy complex, Andromede.

"Artemis."

"Deuxième prénom. Okay tu n'es pas autant dans les ennuis que prévu, mais ça ne va pas être une discussion agréable. Ca n'allait pas être une discussion tout court, t'en étais sûre.

"Un billet de train t'attend sagement dans ta chambre jeune fille. Tes bagages ont été préparés également. Tu pars ce soir."

"T'es grande Andromede, tu pleures pas, tu sais que c'est pour ton bien. T'es pas une fragile...

"Ne pleure pas mon étoile...Tu trouveras ta moitié là bas."

"Je-"

"Tu ne pleures pas et tu n'as pas besoin de ton humain, oui oui. Allez, file. Je t'aime."

"Tu l'aimes aussi.

""Mais t'as pas abandonné pour autant.

"Il le sait, il l'a comprit, il t'a aidé.

"Quand t'arrives à Hoshikami, c'est par quatre visages familiers que t'es accueillie, et un masque tout neuf.

"Hoshikami, c'est genre, le regroupement de tout nos soucis et nos solutions."

"C'est parti !"

Tu souris, rayonnante. T'as 18 ans, un but précis dans la tête, que tu t'évertues à réaliser par des moyens fort illégaux. Mais c'est pas grave, la fin justifie les moyens.

"Andro ?"

"Hum ?"

"Tu sais, tu pourrais être une queen, une vraie-"

"Tu te retournes vivement, les étoiles dans les yeux.

"-si tétais pas aussi fragile."

"…

C'est pas grave. La partie ne fait que commencer.
merc